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david bowie - Page 2

  • Berlin - Choses vues #2

    Die Mauer 1989.jpg

    (Credits photo: Antoine Dubuquoy - DR)

     

    Berlin... "It should be easier to go to your neighbour that to go to the moon"... Inscription sur le Mur, photographiée en 1989, quelques jours après son ouverture. Le message était fort. Exprimant la frustration des Berlinois de l'Ouest, encerclés de murs.

    Berlin, c'est ce souvenir des stations de métro des lignes U6 et U8 de Berlin-Ouest, que les hasards de la géopolitique avaient placées en territoire est-allemand. Ces stations doù les rames ne s'arrêtaient pas. Hors du temps. Avec leurs affiches publicitaires de 1961. Surprenantes, vingt ans après. Stations fantômes à l'éclairage chiche, rappelant sans cesse le Rideau de Fer, la Guerre Froide.

    Et pour l'atmopshère, rien de tel que les climats glaçants de Warzsawa, extrait de Low, l'un des piliers de la trilogie berlinoise de David Bowie.

     

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  • Berlin - Choses vues #1

    Die Mauer muss Weg... Berlin avant 1989. Le cri du coeur des berlinois. Il faut détruire le Mur, érigé par Walter Ulbricht le 13 août 1961. Lequel avait décrété quelques temps auparavant: "Niemand hat die Absicht ein Mauer zu errichten". Personne n'a le projet de bâtir un mur. Berlin est LA ville qui a impressionné mes 17 ans. Le Mur, le passage du Rideau de fer en train, au cours d'un voyage scolaire organisé par mon prof d'allemand de 1ère. Passage de la frontière. Contrôles des passeports à bord du train. Chiens, barbelés et miradors. Nuit sans sommeil avec l'excitation de la traversés de l'Allemagne de l'Est. Dont les seules images provenaient des films d'espionnage (Le Rideau déchiré d'Alfred Hitchcock, La Lettre du Kremlin de John Huston). Arrivée au coeur de la Prusse Orientale. Le Mur, les murs. Blancs. Contrôles. Chiens et barbelés. Kalachnikovs. Et Berlin. LA ville qui ne dormait jamais. Provocation permanente. Enclave occidentale en terres rouges. Publicités lumineuses. Building des Editions Axel Springer (Bild) à deux pas du Mur. Quelques jours d'un tourisme grave, le long de la frontière avec les VoPos (Volkspolizei) juchés dans leurs miradors qui matent à la jumelle les touristes qui, juchés sur des promontoires regardent ce qu'il y a derrière le Mur. Mur couvert de graffitis à l'Ouest, immaculé à l'Est. Les silhouettes des fugitifs se distinguant mieux sur une surface claire... Histoire d'ajuster le tir... Check-Point Charlie et les deux camps se faisant face. Sie verlassen den amerikanischen Sektor. Vous quittez le secteur américain de la ville. GIs, jeeps et M16 face à la Volksarmee. La Guerre Froide palpable.

    Berlin Ouest et une vie alternative. Berlin où Bowie était venu enregistrer Low et Heroes. Berlin et le Hansa Studio. Am Mauer. Près du Mur. Berlin et Nina Hagen. Transfuge de l'Est, expulsée avec son beau-père, chanteur folk contestataire, Wolf Biermann. Mère cantatrice, Eva-Maria Hagen. Nina et le punk. Et sa version de My Way. Relecture de la version de Sid Vicious avec paroles dédiées à Berlin. Berlin du tote Stadt, mit Stacheldraht aud weissen Zaunen. Berlin ist alt und voll Gewalt. Berlin, ville-morte avec ses barbelés et sa violence.

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  • Dans mon iPod ce weekend...

    All the Young Dudes... Mott the Hoople dans une cover de Bowie... Un morceau figurant sur la BO du délicieux Juno sorti l'année dernière...

     

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    Catégories : Musiques, Playlists Lien permanent
  • Cover story N°13

    The port of Amsterdam. Bowie. Jackie. Scott Walker. Des covers en anglais de Jacques Brel. Surprenantes. Avec une vraie dimension tragique pour l'une, épique pour l'autre.
     

     

     

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